Avant de commencer, il faut comprendre les nombreux avantages qui existent quand on décide de déplacer la bibliothèque utilisateur sur une autre partition.

Tout d’abord, il y a la sérénité que les données ne seront pas perdues dans le cas où Windows ne fonctionne plus et un reformatage est obligatoire.

De plus, si on possède un dualboot, on sera bien content de pouvoir avoir accès à ses données avec les deux systèmes d’exploitation. Si vous êtes sur MacOS, attention ! une licence payante pour lire le NTFS est obligatoire.

Ensuite, cette partition ne sera pas à refaire dans le cas d’un reformatage à condition de ne pas supprimer cette partition bien entendu. C’est-à-dire que même si vous voudriez avoir un dualboot que vous n’avez pas de base car vous aimeriez vous lancer sur Linux par exemple, vous n’aurez rien à faire sur cette partition. Etant inscrite dans le MBR (acronyme de Master Boot Record – la table de partition en d’autres termes), elle sera automatiquement associée à Windows. Quant à Linux, un point de montage de type /media/[Nom de la partition] sera nécessaire. Le point de montage commençant par / indique la racine du disque dur et media comme étant une partition à monter lors du boot de Linux.

Enfin, vous avez un espace de stockage et donc de sauvegarde. Toutefois, il n’en demeure pas moins de faire une sauvegarde sur un support externe au cas où.

Le seul inconvénient qui existe est d’accidentellement effacer la partition ou de manquer de place si vos projets ou votre utilisation de ladite partition viendrait à évoluer. C’est pourquoi il est important de nommer votre partition depuis les propriétés dans Poste de travail/Ce PC suivant votre version de Windows.